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Duma di Bula

LES UNIVERSITES AFRICAINES FACE A LA PRODUCTION, AU PARTAGE ET A LA CONSERVATION DE LEURS RESSOURCES

Dernière mise à jour : 3 juin 2021

La valeur d’une université se mesure par la qualité et la quantité de connaissances produites, partagées et accumulées tout au long de son existence. C’est un patrimoine collectif produit non seulement par des professeurs et des chercheurs de l’université, mais également par ses étudiants qui y ont élaboré quantité d’activités telles que des articles, des mémoires, thèses, etc tout le long des leurs études. Quand bien même il y aurait des productions, les universités africaines ont de tout temps été confrontées à des gros problèmes d’archivage et de diffusion de leurs productions. Les conséquences en la matière sont très lourdes : démotivation pour les travaux tant en qualité qu’en quantité ; perte de connaissances et de mémoire…Pour remédier à cette situation et mettre les universités africaines à un niveau tout aussi enviable de celui des autres dans le monde, KA Technologies propose des solutions numériques RETICE-RENAC pour doter tous les campus universitaires de plateformes-clouds pour la production, la vente, le stockage et le partage des documents scientifiques produits par les universités. Ceci relèvera la qualité, l’attrait et les échanges de connaissances universitaires à l’intérieur comme à l’extérieur des universités.


RDC- Caricature: Remplacer le syllabus par la connexion wifi? (Actualite.cd)


Des polycopies des cours ou syllabus plus accessibles pour les étudiants


Les matières dispensées dans les universités sont accessibles aux étudiants non seulement dans des amphithéâtres ou salles où des professeurs donnent cours, mais également à travers les supports des cours que ces derniers proposent à leurs apprenants. Ces supports, qu’on appelle parfois polycopies ou syllabus, contiennent l’essentiel de l’enseignement donné aux étudiants par leurs professeurs. Bien sûr que le bien-fondé de ces documents n’est pas à discuter quant à leur utilité pour les étudiants. Si ce système de mise à disposition des cours par écrit est très largement répandu, il n’en reste pas moins que ces supports de cours ne sont pas toujours proposés dans des meilleures conditions quant à leur coût et leur accessibilité à tous les étudiants. Des coûts souvent très élevés mais qui bénéficient peu à l’auteur à cause des moyens de production toujours restés traditionnels : reproduction, photocopie, impression, etc. gourmandes en consommables (papier, encre, cartouches etc. Aussi, la société KA Technologies se propose-t-elle de résoudre ce problème de ressources pédagogiques et autres productions en installant dans les campus sa plateforme-cloud et en déployant son réseau sans fil RETICE-RENAC sur toute l’étendue du campus qui donne l’accès en local aux données de la plateforme sans internet. Une fois sa plateforme informatique déployée sur un campus, celle-ci permet de produire, de stocker et de distribuer de façon gratuite ou payante (le choix revenant aux auteurs et à la politique de l’université), toutes sortes de contenus scientifiques, littéraires, artistiques, etc., proposées par l’université, ses étudiants et ses professeurs. Le rôle de KA Technologies s’arrêtant à la mise en place de la plateforme-cloud en tant que contenant.


La conservation de travaux de recherche dans les universités africaines


Les documents qui font la fierté de toute université sont les travaux de recherche effectués en son sein par ses étudiants et ses professeurs. Au nombre de ces travaux figurent les mémoires et les thèses présentés par les étudiants à la fin de leurs cursus universitaire. Mais tous ces documents sont-ils accessibles ou bien conservés dans les archives universitaires africaines. On aimerait bien qu’ils le soient, mais dans quelles conditions ?

Une fois encore KA Technologies offre ses services pour la conservation, dans les meilleures conditions, de toutes les activités universitaires grâce à ses plateformes informatiques capables de conserver quantité de documents dans ses serveurs installés en local.


La gestion des revues et des bibliothèques universitaires


Quant aux autres documents, revues universitaires et ouvrages conservés en bibliothèque, ils pourraient être mieux gérés grâce au numérique qui faciliterait la tâche aux étudiants comme aux professeurs dans leur choix des ouvrages à consulter. Le numérique faciliterait aussi la diffusion des publications scientifiques initiées par les universités. Ces universités pourraient facilement entrer en contact avec d’autres plus lointaines, nationales et étrangères, avec lesquelles elles échangeraient dans tous les domaines du savoir. Après tout, la grandeur d’une université n’est-elle liée à la quantité et à qualité des publications faites par ses professeurs, ainsi que par ses chercheurs qui officient au sein de celle-ci ?


Pour les universités africaines confrontées à des moults problèmes de conservation et de circulation de connaissances, le système RETICE-RENAC se prêterait bien à régler une fois pour de bon l’épineux problème de gestion des connaissances au service des universités et d’une Afrique qui peine à bien former ses cadres de demain.


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